ELEUTEROCOCO



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ELEUTEROCOCO
Eleuterococo; al. Eleutherococus wurzel; ingl. Siberian ginseng, touch - me - not.

La racine.

Et senticosus c'est une bruyère épineuse (2 - 3 m) de feuilles applaudies longuement pecioladas. Les fleurs pentámeras sont groupées dans des umbelas simples, sphériques, uniques ou associées 2 ou 3, soutenues par un pedúnculo inséré dans la base de la feuille. Le fruit est une baie noire avec 5 os.

Origine.

Il est très abondant dans l'est de Sibérie, la Chine se trouve aussi en Corée, Shanxi et Hubei) et le Japon. Il prolifère dans les forêts de cèdres et touffues, dans la montagne moyenne et dans ce qui est de niveau. Les racines des plantes sauvages sont récoltées à la fin du printemps ou en automne.

Composition chimique.

Bien qu'aux composants isolés de la drogue leur on ait appelé, majoritairement, "eleuterósidos" (0. 6 - 0. 9%) il s'agit de heterósidos dont les geninas appartiennent à des groupes fitoquímicos très différents 62]

Fitosteroles: eleuterósido À (identique au daucosterol) phénols acides: eleuterósido B (= glucósido de l'alcool sinápico)

Lignanos: eleuterósidos D et E (glucósidos du siringarresinol)

Coumarines: eleuterósido B1 (= isofraxósido)

Triterpenos: ramno - arabinósidos de l'acide oleanólico libre (eleuterósidos I, K) ou estérifié par trisacárido (eleuterósidos L, M)

Ces composés sont très différents à à ceux ginsenósidos. On a identifié autres beaucoup de composés dans les racines de l'eleuterococo: coumarines, lignanos, dérivés fenilpropánicos (acide cafeico libre et estérifié, de l'alcool coniferílico) ß - sitosterol 63] polysaccharides, 2. 5 à à 3. 7 %) sucres simples, vitamines, carotenos, pectina, cires, lipides, etc.

En 1986 on a purifié ce qui est eleuteranos, des polysaccharides hétérogènes de poids moléculaire compris entre 3 x 103 et 7 x 104 et ont été identifiés ses oses composants 66] Les feuilles contiennent nombreux saponósidos triterpénicos: ceux civujianósidos 76]

Données pharmacologiques.

La drogue est difficilement classable selon les normes de la médecine occidentale: ainsi, selon les auteurs russes, il s'agit d'un "adaptógeno". Ils répondent à ce terme les drogues qui sont inoffensives et ne développent pas une action "spécifique", mais qui augmentent la résistance de l'organisme et régularisent les situations pathologiques. Par conséquent, il est sensible de procéder à des essais pharmacologiques ou biologiques, en tenant compte en outre qu'on ne connaît pas réellement les principes hypothétiquement actifs.

Toutefois dans des essais effectués dans des animaux d'expérimentation l'eleuterococo est stimulant de la SNC (antihipnotico, lapin) renforce la résistance à la fatigue (temps de natation dans le rat, la montée par une corde dans la souris. améliore la réaction à l'effort (souris soumise à des variations thermiques, des rats immobilisés, des dommages chimiques dans les orugas) exerce un effet radio protecteur (souris) et anti - inflammatoire.

D'autres auteurs, après un essai à long terme (3 mois) effectué dans la souris, n'ont pas trouvé les effets "antieffort" attribués à cette drogue 67] ou n'ont pas observé en rat les modifications biochimiques attendues. Ce qui est eleuteranos exercent des effets hipoglucemiantes en souris normale ou quand lui on provoquera une hyperglycémie avec aloxano 69] Les essais in vitro montrent des propriétés inmunoestimulantes étant donné une fraction polisacarídica 72]

Observations dans l'Homme.

Cette drogue, connue sans doute par les chamanes sibériens et utilisée par la médecine chinoise, a fait l'objet de nombreuses études dans l'homme dont les résultats "restent discutables, parce qu'ils sont difficilement vérifiables" 29] que peut être conclu des "observations" faites au cours d'un rally d'automobiles, dans les coureurs dans lesquels on apprécie le "ton" ou dans les athlètes de haut niveau ou mieux encore dans les cosmonautes? Des données cliniques bibliographiques on peut spécialement souligner une amélioration des résultats physiques, entre les sportifs 67] 73] après un fort exercice musculaireainsi que dans des personnes qui effectuent des travaux de force.

Emploi.

La drogue peut être considérée dépourvue de toxicité aux doses recommandées dans thérapeutique: tant l'extrait aqueux (3 g / kg, souris, PER vous) comme l'infusion (25 ml / kg) se montrent atóxicos. La DL50 de l'extrait à à 33% en éthanol est de de 23 ml / kg (toxicité étant donné l'éthanol? 70] 71] La drogue est actuellement utilisée sous forme de poussière criomolido, nebulizado, extraits hidroalcohólicos et infusions. Dans l'homme sain, cet "harmonisateur" 67 on recommande] dans diverses circonstances: comme prophylaxie de la grippe, lutte contre la fatigue physique et intellectuelle, l'effort, les bouleversements de la senescencia. Cette dernière indication est très discutable et examinée 74]

En Espagne, on autorise l'utilisation de cette plante en cas de convalecencia, d'effort, fatigue, asthenie, préparation d'examens et essais sportifs.

La drogue.

Les racines de l'eleuterococo sont présentées souvent rarement fragmentées et courbées, tortueuses, ramificadas. La surface externe est jaune grisâtre, la coupe est propre et montre une zone médullaire finement diffusée, jaune pâle, entourée d'une zone corticale mince, de couleur marron. La caractérisation des principaux composants de la drogue on effectue par C. C. F. d'un extrait etéreo (geninas et produits peu polaires) et d'un extrait metanólico redisuelto en butanol (heterósidos) 63] Cette technique permet de différencier l'origine des échantillons. La Chromatographie liquide de haute résolution en phase inverse permet aussi d'évaluer certains eleuterósidos 63]

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Maladies dans le traitement duquel cette plante est adéquate.

Fatigue - Asthenie.

Crampons musculaires.

Grippe.


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